TIMOTHÉE LE VOLEUR D'ICÔNES
Timothée, le voleur d'icônes, Willy Fährmann, 12,5 x 19 cm, 257 p. broché.
Le moine Alexis avait vieilli et il était devenu malade. Dans sa vie, il avait peint beaucoup d’icônes, ces œuvres d’art qui tentent de rendre visible sur terre un souffle de la respiration divine. Gens des villes ou de la campagne, tous vantaient les icônes du moine Alexis. Beaucoup disaient n’en avoir jamais vu de plus belles. Ils disaient que grâce à elles, le ciel s’entrouvrait, l’espace d’un instant, et que bon nombre de vies humaines gâchées avaient pris une nouvelle tournure.